LE CLIP DU JOUR : "La Javanaise" de Gainsbourg en japonais, par Julien Doré
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Le site StreetPress vient de dévoiler un documentaire qui s’intéresse à des personnages habitués des scènes rap mais peu connus du grand public : les backeurs.
Définition : le backeur, dont le nom est tiré du verbe anglais To back (supporter, en version française), est le premier soutien vocal du rappeur lors des concerts. Grâce à sa maîtrise du répertoire du rappeur, le backeur (qui est très souvent un rappeur lui-même) est en première ligne en cas de perte de souffle ou d’incident technique de l’artiste sur scène.
Outre ce job de filet de sécurité/choriste, les backeurs s’avèrent être d’excellents rappeurs, parfois du même niveau technique que les artistes qu’ils accompagnent en tournée. Micro en main à leurs côtés, ils restent pourtant des hommes de l’ombre, et si l’allégeance est belle, elle peut aussi égratigner l’ego.
En France, Inès Belgacem et Matthieu Bidan se sont introduits dans les répétitions des concerts de Kery James, assisté par le célèbre OGB qui assume très bien sa position de backeur aux côtés de Teddy Corona. Dans leur documentaire Backeurs on aperçoit aussi le rappeur Brav, ex-backeur de Médine, qui confie sa lassitude du métier et s’est d’ailleurs concentré sur sa carrière solo (son dernier album Error 404 est sorti en février 2016).
Sont mis à l’honneur aussi bien les backeurs « à l’ancienne » comme Sako (ex-backeur d’Akhénaton) que ceux de la nouvelle école tels que Sanka (backeur de Georgio), Gros Mo (backeur de Nemir), ou encore S-Pi (backeur de Youssoupha). StreetPress s’illustre donc une nouvelle fois dans le mini-docu, après son exploration de « La Ride » française.
Image à la Une © Capture d’écran « Backeurs », StreetPress.