Pour bien commencer 2015, plus de 40 000 oeuvres d’art appartenant au musée américain « Smithsonian’s Freer Gallery of Art and Arthur M. Sackler Gallery », ont été digitalisées et sont désormais accessibles aux internautes du monde entier.
Cette immense collection d’art, très rarement exposée, comporte des trésors du Néolothique au XVIIe siècle. Ils nous viennent, entre autres, d’Amérique, d’Égypte ancienne et d’Iran, du Japon et de Corée (l’accent est mis sur l’art asiatique).
Un bronze indien représentant Shiva, vers 990.
L’institution existe depuis 1982. Située dans la ville de Washington, elle abrite la plus grande librairie de recherche sur l’Art asiatique des États-Unis.
« Nous sommes arrivés à un tournant digital, la définition même du « musée » est en train de changer » explique son directeur Julian Raby, interviewé par le site The Verge, qui consacre un article au sujet. « Nous voulons promouvoir l’amour et l’étude des arts asiatiques, et le meilleur moyen d’y arriver est de proposer nos ressources incomparables ».
Femme au bouquet de fleurs, Iran, vers 1575.