Avant d’être repéré, il s’illustrait sous le nom de Breezy LoveJoy. Revenu à son nom de baptême depuis 3 ans, protégé par Dr. Dre et adoubé par The Game (il a chanté sur leurs derniers albums respectifs), Anderson Paak est pour l’instant plus connu pour ses collaborations que pour son travail personnel. Dommage : son album « Venice », sorti l’année dernière, vaut le détour, et le situe dans les pas d’un Miguel ou d’un Frank Ocean. Plus disco, au rythme parfaitement tenu, ce nouveau morceau où apparaît ScHoolboy Q pousse à la danse. Pas étonnant, quand on sait qu’Anderson Paak joue de la batterie tous les dimanches, pour la paroisse baptiste de Los Angeles.