Un titre composé juste après les attentats de Charlie Hebdo en janvier dernier, et « libéré publiquement », selon les mots du groupe symbole du punk français (officiellement séparé en 1989) le 14 novembre, au lendemain des attentats de Paris. Un hommage aux victimes « du Bataclan, du Petit Cambodge, de Charonne et de la Fontaine au Roi », mais aussi aux « soeurs et frères d’Irak, de Syrie, du Liban, de Libye et d’ailleurs qui vivent ces atrocités au quotidien ».