L’imaginaire de ce clip minimaliste et psychédélique, qu’on doit au duo de réalisateurs ZEUGL, s’inspire de « La Planète Sauvage », un dessin animé réalisé par René Laroux en 1973. Symphonie spatiale de l’Impératrice en fond sonore, il propulse le spectateur dans un monde fourmillant d’allusions. Au premier abord, la vidéo semble bien naïve au regard du morceau, à l’écriture née quelque part entre « L’Anamour » et les « Sucettes »… Et puis d’un coup, tout s’éclaire, même si pour saisir tout ce qui ce trame dans ce clip, il faudra attendre un second visionnage. À voir, donc, et même à voir deux fois.
L’Impératrice jouera au festival We Love Green de Paris demain, le samedi 4 juin.