C’est la deuxième fois que l’artiste plasticien Neïl Beloufa expose au Palais de Tokyo, mais c’est la première fois qu’il réalise un film.
Nous sommes allés lui poser des questions dans son exposition L’ennemi de mon ennemi et l’avons accompagné dans son atelier où il nous a parlé de son film Occidental (en salle le 28 mars), de sa constante volonté de ne pas faire un art moralisateur, de sa vision du financement des oeuvres et de l’importance de leur marchandisation. Si son exposition est très politisée, il met néanmoins en garde contre l’utilisation trop hasardeuse de la notion d’artiste « engagé ». Pour lui, ça ne reste que de l’art…
Il y a quelques jours, il était également l’un des invités de Clique Dimanche :
Image à la Une : capture d’écran du film Occidental.