Transporté dans une autre réalité le temps d’un clip-catastrophe acidulé, on avance, on recule, on tourne autour des éléments qui composent la scène, modélisée en 3D d’après des dessins d’Ugo Bienvenu. Portée par la mélodie de Jabberwocky, la succession de très gros plans fait découvrir l’histoire à travers ses détails… Jusqu’au désastre.
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