« Salut à toi oh mon frère » c’est le chant fraternel des Béruriers noirs adressé à la jeunesse mondiale. Qu’on vienne du Cambodge, d’Algérie, de Tunisie, de Grèce, du Bengladesh, d’Inde, d’Iran, qu’on soit apatride, des quatre coins du monde : nous somme tous dans le même bateau, ici en France. Toujours actuel, et toujours Berrus.