Beaucoup de tango, mais aussi de la salsa, de la rumba, de la samba, et même du hip hop : ces dernières années, les danses de couples ou individuelles qui ont pour point commun d’ « enflammer l’imagination et d’impliquer des pas compliqués » connaissent une popularité croissante au sein des classes moyennes et supérieures des villes iraniennes.
IranWire, une plateforme d’information sur l’Iran fondée par plusieurs journalistes iraniens de la diaspora, consacre au sujet un joli reportage, à lire (en anglais) sur le site The Daily Beast. Comme les codes moraux de l’Iran interdisent les hommes et les femmes non-mariés de s’approcher de trop près, les leçons de danse s’organisent sous le manteau, par le bouche-à-oreille, dans des appartements ou dans des salles discrètement réquisitionnées pour l’occasion. Footloose, donc, mais version iranienne.