Léonard Trierweiler, fils de Valérie, ex 1ère dame de France, vient tout juste de fêter ses 18 ans et c’est en très jeune adulte qu’il donne sa première interview en répondant avec grand sérieux aux questions de Mouloud Achour.
Il nous raconte alors sa toute première rencontre avec François Hollande :
« La première fois que je l’ai vu, il nettoyait notre piscine ».
Et explique la relation personnelle qu’il a eu et qu’il a encore aujourd’hui avec le Président de la République :
Mouloud : « Est-ce qu’il t’a envoyé un texto pour ton anniversaire ? »
« Non… mais c’est pas grave. »
Et nous parle de la normalité du Président normal :
« Parfois à l’Élysée, ça lui (F.H, ndlr) arrivait d’éteindre lui-même toutes les lumières : ‘Ça coûte trop cher’. »
Léonard nous avoue ses rendez-vous amoureux à l’Elysée et passe au crible sa relation twitto-épistolaire qu’il entretient avec Louis Sarkozy :
« Je crois que j’avais sa chambre (…) Il avait laissé des pistolets à billes (…) et des altères aussi… »
Tout en révélant ce qu’il pense vraiment de Nicolas Sarkozy :
« Peut-être que le fait d’avoir perdu ça l’a rendu pire, il a encore plus la niaque »
Le jeune homme ne pratique pas la langue de bois :
« Vivre à l’Élysée ou ne pas y vivre, j’en avais rien à foutre… »
Et lorsqu’une question lui déplait, il explique calmement qu’il n’y répondra pas…
Mouloud : « Est-ce que tu as eu une explication avec le Président ? (…) C’était juste (Mouloud mime une poignée de mains) ‘Au revoir, merci pour ce moment' »?
– (…) Non quand-même pas, mais ça, je préfère garder ça privé. »
Léonard aborde également Gradur, Kaaris, Jacquie et Michel, les paparazzi, les moelleux au chocolat, et donne des nouvelles de sa maman :
« Comment elle va Valérie Trierweiler ? Elle va mieux ?
« Elle va mieux. Ça va très bien. (…) On vit comme avant dans le 15ème. »
Et n’hésite pas à nous donner son ressenti face à la présidence de François Hollande :
« Je crois en ce qu’il fait. (…) Je ne sais pas comment ça se fait que ça ne marche pas. J’ai l’impression qu’il a l’air sincère, qu’il fait tout pour que ça se passe bien, il travaille tout le temps, mais rien ne se passe. (…) On peut pas être normal et Président, je pense. »