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On le voit moins en chemise à carreaux ces derniers temps, mais à 49 ans, Terry Richardson conserve tout de même son look caractéristique : pouces levés, moustache, longues pattes sur les tempes et lunettes carrées. Et toujours ce même sourire malin, celui de l’enfant pris la main dans le sac.
Terry Richardson, c’est la provoc’ à l’extrême, l’obsession du sexe. Une version trash, réactualisée, du « porno chic » popularisé par Helmut Newton. Ses portraits, en (très) petite tenue, de stars et de mannequins sur fond immaculé, l’ont rendu célèbre.
De Nicki Minaj à Miranda Kerr, de Cara Delevingne à Beyoncé en passant par Jared Leto et Madonna, tout le monde se dévoile pour Terry Richardson, qui cultive d’année en année sa réputation sulfureuse de maître de l’underground.
Le travail du photographe inonde les couvertures et pages de publicités des magazines (Harper’s Bazaar, Lui, Purple, Rolling Stone). Il réalise aussi quelques clips : parmi eux, sûrement l’un des plus subversifs – et célèbres – de ces dernières années : Wrecking Ball, où l’ex-star de Disney Miley Cyrus se balance nue sur un boulet de canon.
Aujourd’hui, Terry Richardson s’est-il assagi ? C’est l’impression qu’il donne, lorsqu’on le rencontre à la galerie Perrotin, à Paris. Il est venu présenter « Le sacré et le profane », une série de photos prises au détour des autoroutes américaines, qu’il a sillonnées pendant deux ans. De son voyage, il ramène des clichés d’une Amérique duale, quasi-schizophrénique, perdue entre moralisme hypocrite et sexualité à outrance.